Guide complet Ho’oponopono : La clé hawaïenne du bonheur et de la paix intérieure

Guide complet Ho'oponopono

Introduction

Vous avez forcément déjà entendu ce drôle de nom : Ho’oponopono. Il nous vient d’Hawaï et peut faire une énorme différence pour votre bien être et votre qualité de vie.

Aujourd’hui, La Clairière a décidé de vous offrrir un guide complet de cette approche dont l’efficacité n’a d’égale que la simplicité.

Bonne lecture !

1 – Présentation du Ho’oponopono : Une clé hawaïenne vers la paix intérieure

Depuis très longtemps à Hawaï, lorsque des conflits apparaissent dans la communauté, ce sont les rituels Ho’oponopono qui sont utilisés pour rendre la justice et ramener la paix.

Ce sont généralement les chamanes qui effectuent les rituels Ho’oponopono que l’on peut traduire très librement par ”rétablir ce qui est juste’.

Les principes de base de Ho’oponopono sont les suivants :

  • Vous avez en vous, dans vos cellules, le souvenir d’événements négatifs qui se sont produits par le passé, dans votre propre vie et même dans les vies de vos ancêtres. Cette énergie négative se traduit de génération en génération si on ne fait rien pour la nettoyer.
  • La réalité du moment présent dépend de l’influence du passé et donc des énergies négatives stockées en vous. Ce sont ces énergies qui font en sorte que l’on prend de mauvaises décisions, que l’on porte des jugements sur les gens, que l’on déclenche ou se trouve impliqués dans des conflits, et que l’on met en place une sorte de mécanisme de protection en étant toujours à l’affut des agressions. Sans que vous vous en rendiez toujours compte, ces mémoires pèsent sur votre qualité de vie et votre sérénité.
  • Il est important de ”nettoyer” vos souvenirs négatifs afin de pouvoir connaître la réalité des choses sans aucun filtre, sans aucune altération, seulement dans leur aspect totalement pur.

Pour ce faire, Ho’oponopono suggère de répéter un mantra purificateur :

Désolé – Pardon – Merci – Je t’aime.

Mais, ces mots ne doivent pas être dits juste comme ça, une intention et une acceptation de la situation sont aussi indispensables.

Ainsi donc, la personne qui dit ces mots doit savoir qu’elle est seule responsable de la situation dans laquelle elle se trouve en raison des erreurs qu’elle seule a commises.

Et, par ailleurs, il est accepté que la purification est effectuée par ”le Divin”, chacun mettant derrière ce mot ce qu’il souhaite, ce qu’il croit, ce qu’il considère comme étant cette entité supérieure.

Les deux premiers termes : ” Désolé – Pardon” ne signifient pas qu’il y a une victime et un coupable et que l’un doit s’excuser auprès de l’autre. Non ! Cela exprime simplement le fait que l’on souhaite se débarasser des remords et de toute rancune pour prendre un nouveau départ pour soi-même et envers les autres, la communauté.

Quant à ”Merci, je t’aime”, cela est dirigé vers cette entité supérieure qui effectue le nettoyage en nous permettant de prendre conscience des souvenirs négatifs avant de nous en libérer.

Par cette technique ancestrale, il vous est possible de :

  • Vous sentir plus léger(ère) puisque libéré(e) des préjugés et a prioris ;
  • Trouver (ou retrouver) votre véritable identité ;
  • Savoir prendre de meilleures décisions à l’avenir ;
  • Connaître la paix intérieure.

Nous allons revenir, tout au long du présent guide, sur les différents aspects de cette méthode qui, malgré son évolution au fil du temps et son internationalisation, repose toujours sur les principes énoncés ci-dessus.

2 – L’importance du Ho’oponopono dans le contexte du bien-être contemporain

Si l’on tente de résumer l’objet de toute recherche du bien être dans notre société moderne, cela peut se condenser de la manière suivante : savoir comment gérer les événements qui surviennent en ne laissant pas les idées négatives nous envahir, mais en voyant le positif en toute chose afin de toujours pouvoir retrouver le calme et revenir vers la paix intérieure.

Cette idée de réalignement perpétuel entre nos valeurs essentielles et ce qui se déroule dans notre environnement et vient tenter de modifier le cours de notre existence correspond exactement à la philosophie Ho’oponopono.

Tout ce qui se produit de négatif dans notre univers devient immédiatement un souvenir négatif si on ne prend pas le temps de le nettoyer, et cela refera surface à un moment donné ou à un autre (généralement, au pire moment possible d’ailleurs !).

Ho’oponopono nous permet donc, en quelques sortes, de protéger notre vie de toutes influences négatives en les nettoyant au plus vite dès leur apparition ou dès que l’on en prend conscience. Avouez qu’il serait vraiment stupide de ne pas bénéficer d’une telle offre, n’est-ce pas ?

C’est exactement à cela que nous vous convions tout au long de ce guide complet qui va assurément devenir votre nouveau livre de chevet !

3 – Aperçu des points clés de l’article

Nous allons donc débuter avec un retour sur l’histoire de Ho’oponopono.

Nous ne faisons pas cela avec toutes les techniques que nous vous présentons, mais dans le cas de Ho’oponopono, cette évolution est absolument fascinante. Nous la partageons donc avec vous.

Nous reviendrons ensuite sur le mantra Ho’oponopono. Derrière sa simplicité se cache un système complet de pensée et une philosophie qui mérite toute votre attention.

Il sera ensuite grand temps de voir comment Ho’oponopono peut prendre sa place dans votre vie, quelles sont les routines que vous pouvez intégrer dans votre quotidien puor toujours plus de bien être, et les améliorations que vous pouvez vivre chaque jour et aussi surtout face à chaque difficulté que la vie vous réserve.

Mais nous savons aussi qu’il n’est pas toujours évident de croire à tous ces bienfaits procurés par les techniques de bien être en général et par Ho’oponopono en particulier.

C’est pourquoi nous prendrons ensuite le temps de vous présenter les différents domaines scientifiques qui viennent confirmer par des faits tangibles et démontrables ce qui est avancé naturellement par Ho’oponopono.

Nous ferons aussi un peu de place à quelques recherches fort intéressantes dans ce domaine.

À ce stade de l’article, vous connaîtrez déjà beaucoup de choses relatives à Ho’oponopono, et peut-être l’idée de partager cette approche avec d’autres viendra s’immiscer dans votre pensée.

Nous vous donnerons donc quelques astuces pour bien démarrer en Ho’oponopono, ce qui vous permettra d’en parler en toute simplicité avec d’autres personnes et de les inviter à débuter à leur tour leur cheminement Ho’oponopono.

Toujours dans l’idée de répandre la bonne nouvelle Ho’oponopono auprès du plus grand nombre de personnes possibles, nous regarderons ce que cette technique peut apporter dans le domaine du bien être mental.

Nous regarderons, entre autres choses, comment Ho’oponopono peut aider les personnes souffrant de dépression.

Puis, nous mentionnerons comment Ho’oponopono peut s’inscrire dans une démarche globale de développement personnel, avant de nous arrêter sur quelques points de controverse entourant Ho’oponopono.

Mais rassurez-vous, il n’y a rien de grave. .

Il sera alors temps de conclure notre guide qui, comme vous pouvez le constater, sera vraiment très COMPLET !

Bienvenue dans le monde du Ho’oponopono !

L’histoire fascinante du Ho’oponopono

Pour comprendre pleinement le Ho’oponopono, il faut se rapporter à la philosophie hawaïenne plus globale appelée ”Aloha’.

C’est seulement en possédant ces fondements que l’on peut bien saisir ensuite ce qui est arrivé en 1976 lorsque Morrnah Nalamaku Simeona a ”modernisé” Ho’oponopono.

Par la suite, l’expansion internationale du Ho’oponopono n’a cessé de se poursuivre, traversant les frontières des pays, les portes des logements et les coeurs de ses pratiquants qui sont toujours de plus en plus nombreux.

1 – Le Ho’oponopono dans la culture hawaïenne ancestrale : Les traditions et les rituels

Mais, revenons un peu à Hawaï pour bien comprendre ce qu’est cette pratique qui est si importante pour le peuple hawaïen qu’elle a été désigée en 1993 ”trésor vivant” dans la constitution hawaïenne.

Ho’oponopono, c’est donc un ensemble de rituels qui étaient (et sont toujours !) pratiqués à Hawaï pour solutionner les problèmes rencontrés par les communautés.

Par le passé (et encore de nos jours au sein de certaines communautés hawaïennes), lorsqu’un problème survenait, les gens se réunissaient autour d’un guide choisi par le groupe, et la situation était expliquée em détails.

Au cours de ce rassemblement, les gens ne faisaient pas que parler. Il y avait aussi de longs moments de silence où chacun retournait en soi pour se recueillir et se remettre en question.

L’événement pouvait ne durer que quelques heures, mais parfois cela allait jusqu’à plusieurs jours en fonction de la problématique à régler.

Les gens se dispersaient seulement lorsque chacune et chacun avait reconnu sa part de responsabilité, que les pardons avaient été échangés et que le repentir était sincèrement éprouvé.

Ainsi libérés, les gens retrouvaient la paix et pouvaient reprendre le cours de leurs vies.

Mais il faut, comme mentionné plus haut, replacer cette pratique dans son contexte, c’est-à-dire la philosophie ”Aloha”.

Pour la plupart d’entre-nous, ”Aloha” signifie juste ”Bonjour” et ”Au revoir”, mais c’est en fait beaucoup plus que cela, c’est un véritable état d’esprit.

Utilisé comme salutation, ”Aloha” comprend déjà beaucoup plus qu’une simple civilité, il s’agit de partager bienveillance, affection, amour, paix, gratitude et compassion.

C’est un peu comme le ”Namasté” des Hindous, ou le ”Shalom” des juifs, ou encore le ”Salam Aleykoum” des musulmans.

Étymologiquement, ”alo” signifie la présence et ”ha” la respiration. Cet ”aloha” peut donc aussi être traduit par quelque chose comme “souffle de vie”.

C’est la version hawaïenne de cette énergie vitale qui se trouve en toute chose et circule partout et en tout temps.

Guide complet Ho'oponopono : l'esprit Aloha
Guide complet Ho’oponopono : l’esprit Aloha

L’esprit Aloha, c’est un esprit de gentillesse, de paix et de bienveillance.

Les principales caractéristiques de cet esprit sont :

  • L’ouverture à l’autre ;
  • Savoir donner sans rien attendre en retour ;
  • Considérer l’autre comme soi-même ;
  • Être tolérant(e) ;
  • Reconnaître qu’il existe un lien universel entre tous les êtres humains.

2 – Les figures marquantes qui ont façonné le Ho’oponopono

Il y a deux dates et deux personnes qui sont intimement liées à Ho’oponopono :

  • 1976 : Morrnah Nalamaku Simeona ;
  • 1984 : Ihaleakala Hew Len.

Morrnah Nalamaku Simeona était une chamane hawaïenne. Elle était très respectée et soignait les gens par les plantes. Prières et massages venaient aussi bien sûr compléter sa pratique.

En 1983, 9 ans avant sa mort, elle a reçu le titre honorifique de ”trésor vivant d’Hawaï”.

Mais revenons à l’année 1976 et à Ho’oponopono.

Cette année-là, Morrnah entreprend de modifier un peu le Ho’oponopono afin de le faire passer d’une approche exclusivement communautaire à quelque chose de plus individuel.

Dans le rituel original du Ho’oponopono, les discussions et prières avaient lieu dans un espace clos et se concluaient toujours par un ”pani” c’est-à-dire un repas pris en commun pour célébrer la réconciliation et le retour de l’harmonie.

Morrnah pense qu’il serait bien d’avoir aussi un Ho’oponopono que les gens peuvent utiliser pour eux-mêmes. Plus besoin dès lors d’un chamane et du groupe puisque la personne communique directement avec la divinité qu’elle vénère.

Mais Morrnah va encore plus loin lorsqu’elle indique aux pratiquants : ”Le but principal de ce procédé est de découvrir la divinité en vous.”

C’est cette divinité qui peut procéder au ”grand nettoyage” des problèmes, des souvenirs, des mémoires. Et c’est seulement après que cela soit fait que l’énergie peut être complètement libérée.

Cette idée de libération totale de l’être est très certainement l’aspect de Ho’oponopono qui l’a rendu si célèbre.

Aussi également sans doute le fait que la pratique de Ho’oponopono permet d’entretenir l’espoir d’un monde meilleur, car comme le dit Morrnah : ”Nous sommes ici pour apporter la paix. Et si nous apportons la paix dans notre vie, tout autour de nous retrouve sa place, son rythme.”

Sautons maintenant à la décennie 1982-1992 durant laquelle Ihaleakala Hew Len est demeuré auprès de Morrnah afin d’apprendre et de maitriser la technique du Ho’oponopono.

Au cours de cette formation, Ihaleakala continuait de travailler dans un asile psychiatrique de l’État d’Hawaï. Les conditions de travail étaient très difficiles en raison de l’état mental très grave des patients qui étaient pour la plupart dangeureux.

Le personnel changeait souvent car il était impossible de faire face à de tels patients. Ihaleakala pour sa part restait dans son bureau afin de se protéger de tout cela.

Il consultait les dossiers des patients tout en effectuant un profond travail sur lui-même via Ho’oponopono.

C’est alors qu’une sorte de ”miracle” se produisit : les malades de l’asile commencèrent à aller mieux. Tout le monde se demandait comment cela était possible. À cela, Ihaleakala répondait qu’il ne faisait que “guérir la partie de lui-même qui les avait créés.”

Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Même si ce concept est difficile à accepter pour la plupart d’entre nous, cela veut dire que nous sommes tous et chacun responsables de ce qui se déroule autour de nous.

Pour revenir aux enseignements de Morrnah, nous sommes toutes et tous des divinités, le monde est donc notre création via notre façon d’exister au monde.

C’est en se changeant soi-même que l’on change le monde. Et c’est exactement ce que Ihaleakala faisait à l’asile. Il guérissait les gens en guérissant la partie d’eux-mêmes qui se trouvait en lui.

Pratiquement, comment cela se passait-il ? Tout simplement en répétant le mantra Ho’oponopono encore et encore :

  • Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime
  • Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime
  • Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime
  • Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime
  • Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime
  • Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime

Et voilà ! Le Ho’oponopono moderne était né !

3 – La mondialisation du Ho’oponopono : Comment il a traversé les frontières hawaïennes

Les bases étant posées, il ne restait plus à Ho’oponopono qu’à se faire connaître du monde entier.

C’est un homme surnommé ”le bouddha du réseau internet” qui permit cela en écrivant des articles sur le sujet et en faisant la promotion de cette fabuleuse technique. Son nom est Joe Vitale et il est étroitement lié à Ho’oponopono.

Plus près de nous, le Docteur Luc Bodin est un remarquable ambassadeur de la méthode Ho’oponopono.

Et ici même à La Clairière, Hannah Sembély ou encore Olivire Madelrieux, peuvent vous initier à la méthode ou vous accompagner plus largement dans votre cheminement si celui-ci a déjà débuté.

Les fondements du Ho’oponopono décodés

Entrons maintenant un petit peu plus au coeur même de la démarche Ho’oponopono en cherchant àcomprendre encore mieux les préceptes sur lesquels il repose.

1 – Signification profonde des quatre phrases sacrées du Ho’oponopono

”Je suis désolé(e)” est une première étape à franchir.

Pour parvenir à faire cela, il faut être capable de refuser deux attitudes que nous sommes très habitués à avoir : trouver des excuses et/ou rejeter la faute sur quelqu’un d’autre.

Pensez seulement aux dernières fois où quelque chose a été de travers dans votre vie.

Le premier réflexe a très certainement été de penser : ”Oh, mais c’est parce-que j’étais fatigué(e)”, ou bien ”ma collègue ne m’avait pas prévenu(e), je n’étais pas prêt(e) pour cela”, ou encore ”ce n’est pas juste moi, c’est tout le monde, tout le monde aurait réagi comme je l’ai fait, on ne peut pas dire que c’est de ma faute.” Etc, etc. Tout le monde a toujours plein d’explications à fournir pour se justifier.

Ho’oponopono vous invite à mettre un terme à ce type de réactions, et à prendre totale responsabilité pour ce qui arrive en vous et autour de vous.

Mais, il ne faut pas considérer cette prise de responsabilité comme une punition, bien au contraire, c’est plutôt ce qui va vous permettre de vous libérer de ce qui pèse sur votre existence.

En acceptant de faire face à ce qui se déroule dans votre vie, d’en faire complètement partie intégrante, vous pouvez changer les choses. Vous n’êtes plus seulement spectateur, mais bel et bien acteur des situations que vous traversez.

C’est seulement une fois que ce premier stade est intégré que l’on peut passer à l’étape suivante : pardon.

Il y a différents niveaux de pardon. Il faut se pardonner à soi-même. Il faut pardonner aux autres. Il faut pardonner au monde et à l’univers.

Cela peut sembler être beaucoup de pardons à octroyer et devenir un peu décourageant. La tâche peut sembler insurmontable.

Mais c’est en fait assez simple, puisque tout découle du premier pardon, celui que l’on s’accorde à soi-même.

Prenons un exemple concret : je me suis énervé(e) au bureau, j’ai crié sur le stagiaire car il a complètement saccagé mon travail et je dois tout reprendre.

Les premiers réflexes sont bien sûr de blâmer le stagiaire, puis la structure de travail qui vous oblige à travailler avec des stagiaires plutôt que des personnes compétentes, puis la direction qui de toutes façons vous donne trop de travail, puis les écoles qui ne savent plus former les jeunes, ce qui n’est pas une surprise dans une société qui… etc, etc, etc…

Ça peut continuer comme ça pendant très longtemps ; l’être humain est excellent à trouver des coupables à tous les niveaux et dans tous les domaines.

Faut-il dès lors pardonner à tous ces gens-là ? Bien sûr que non. Il suffit de vous pardonner à vous-même.

Pardon d’avoir crié. Crier ne solutionne jamais rien.

Et encore moins lorsqu’on crie sur quelqu’un qui n’a peut-être simplement pas reçu la bonne information pour faire le travail de manière efficace.

J’aurais sans doute pu expliquer les choses plus en détails. Mais pour cela aussi je me pardonne, je ne suis pas parfait(e), je ferai mieux la prochaine fois.

Quant à la direction : ai-je pris le temps de leur parler ? Ai-je seulement essayer de trouver le temps de le faire ?

Mmmmmm. Pas vraiment. J’ai décidé d’entrée de jeu qu’ils n’écouteraient pas, qu’ils ne comprendraient pas. Je me pardonne pour cela aussi. À l’avenir, je vais travailler sur deux choses pour devenir une meilleure personne : une communication plus honnête et la capacité de dire ”NON”.

Quant aux enseignants, leur tâche n’est vraiment pas évidente, et de toutes façons, ne sommes nous pas toutes et tous responsables de la jeunesse, de son épanouissement, de donner un bon départ dans la vie à tous les jeunes que l’on croise, d’être pour eux cette personne ”différente” qui va donner une bonne direction à leur vie ?

Je me pardonne de ne pas avoir été cette personne cette fois-ci. Je le serai désormais.

Finalement, en vous pardonnant à vous-même, tout est résolu.

Vous pouvez alors dire ”Merci”.

Merci à l’univers de vous avoir envoyé cette situation qui vous a permis de prendre conscience de ce qu’il vous faut nettoyer en vous, de ce qu’il vous faut améliorer.

Merci à la vie de vous aider à devenir meilleur(e).

Merci au stagiaire qui est devenu pour l’occasion votre enseignant.

Merci, merci, merci pour tout cela et tout ce dont je dois encore prendre conscience.

Et finalement : ”Je t’aime”.

C’est tout d’abord vers vous que sont dirigés ces mots.

Puis vers le monde entier et vers la divinité en laquelle vous croyez.

Car ce sont tous ces éléments ensemble qui permettent de connaître l’harmonie via l’amour inconditionnel.

Voici donc ce que signifient plus en profondeur les 4 phrases du mantra Ho’oponopono.

2 – Le concept de responsabilité totale dans le Ho’oponopono : une rupture avec l’approche occidentale

Au premier abord, la notion de responsabilité totale telle que suggérée et requise par Ho’oponopono peut surprendre, voire heurter.

Elle vient en effet en opposition quasi totale avec les systèmes en place dans le monde occidental.

Ces derniers se basent effectivement sur une approche très individuelle de toute chose. L’individualisme a assurément la part belle dans les sociétés occidentales.

Notez bien que cet individualisme peut avoir des desseins très louables comme le bien de la Nation, de la patrie, ou encore, dans d’autres domaines, la justice. Cette dernière passant inévitablement par la reconnaissamce de la “faute”.

On saisit bien donc la différence majeure qui existe entre les conceptions occidentales et hawaïennes de la responsabilité.

Quand Ho’oponopono dit : ”Je m’excuse de ce qui arrive, j’en suis responsable, je me pardonne afin de pouvoir pardonner aux autres et au monde, je suis reconnaissant(e) pour cet apprentissage, je t’aime mon univers, je t’aime ma divinité, car je m’aime”, l’Occident dit plutôt : ” Je m’excuse d’avoir pris part à un événement qui ne dépendait pas complètment de moi, je pardonne à tous ceux qui ont pris part à cette fâcheuse situation, merci de reconnaître vos torts comme je reconnais les miens, je vous aime ce qui me permet de m’aimer.’

Ce sont ici deux visions du monde et de l’être qui fonctionnent en parallèle. Il nous appartient à toutes et tous, en tant qu’êtres humains, de créer des ponts entre ces deux conceptions afin que Ho’oponopono prévale et que la joie de vivre Aloha se répande partout sur la planète.

3 – L’importance du pardon dans le Ho’oponopono et son influence sur la guérison intérieure

Pratiquer le Ho’oponopono, c’est aussi revisiter le concept d’amour de soi.

Effectivement, en se pardonnant à soi-même, on reconnaît notre droit à avoir des secondes chances dans tous les domaines de notre vie.

Faire des erreurs est quelque chose d’humain. Ho’oponopono le sait et nous aide à transformer ces erreurs en leçons pour l’avenir.

Peu à peu, au fil des pratiques Ho’oponopono, on nettoie non seulement nos erreurs présentes, mais aussi les erreurs faites par le passé.

Un par un, on revient sur ces moments de notre vie ou de celles de nos ancêtres qui ont donné une certaine couleur à notre existence, une nuance qui ne nous appartient pas complètement.

En ce sens, Ho’oponopono nous donne la possibilité de ”redécorer” l’intérieur de notre vie, de notre être. Ho’oponopono, c’est une vaste entreprise de rénovation, de restauration de notre être véritable et authentique.

Et ce dont il est important de se souvenir, c’est que bien souvent, nous n’avons absolument pas conscience de ce décor intérieur que nous n’avons pas choisi, qui s’est imposé à nous et avec lequel nous tentons de faire bon ménage chaque jour.

Ho’oponopono, c’est donc la chance d’un nouveau départ, d’une nouvelle vision pour votre propre vie ; l’opportunité de faire les choses à votre façon, celle où vous êtes responsable de tout ce qui advient en vous et autour de vous.

Car vous allez maintenant découvrir la divinité qui, jusqu’ici, ne faisait que sommeiller en vous, et vous allez participer à son éveil.

Processus Ho’oponopono : Un guide étape par étape

Nous passons maintenant, avec ce chapitre, aux aspects beaucoup plus pratiques de la méthode Ho’oponopono.

Pas à pas, nous entamons ce voyage qui va vous permettre de découvrir toutes les facettes du Ho’oponopono.

Suivez le guide !

1 – Initiation au processus du Ho’oponopono : Commencer le voyage de guérison

Le principe du Ho’oponopono est de répéter un mantra : Je m’excuse – Pardon – Merci – Je t’aime. Il n’y a vraiment rien d’autre à faire. Difficile de trouver plus simple.

Mais, bien sûr, la façon de répéter ces mots, et la situation ou l’événement pour lesquels vous les dites font toute la différence.

Bien souvent, le Ho’oponopono arrive après que les personnes aient essayé d’autres techniques d’introspection pour tenter tout d’abord d’identifier les traumatismes qui refont régulièrement surface dans leur existence.

En effet, le Ho’oponopono ne propose pas de décrypter les mémoires, mais de les nettoyer une fois qu’elles sont globalement identifiées.

Il se peut, par exemple, que vous ayez besoin de faire une ou plusieurs séances d’hypnose peut-être pour aller dénicher cet événement qui est bien enfoui au fond de vous-même.

Peut-être est-ce lors d’une psycho thérapie que vous avez mis à nu les traumatismes de votre enfance ; Il vous reste maintenant à les nettoyer, et c’est ce que Ho’oponopono vous propose.

Mais ces étapes préalables ne sont pas obligatoires et c’est toute la beauté du Ho’oponopono. Nul besoin de les approfondir, de les cerner. Il suffit de les nommer.

Quelle que soit la façon dont vous l’avez identifié, l’événement objet de votre session Ho’oponopono doit être clairement énoncé.

Ce qu’il est aussi parfois possible de faire, c’est de diviser cet événement en plusieurs sous-événements que vous traitez alors un à la fois. Cela peut grandement faciliter le processus.

Par exemple, prenons le cas d’une agression sexuelle lorsque vous étiez enfant.

  • Vous pouvez travailler une première fois sur la journée-même de l’événement, vos réactions, l’enchaînement des choses ce jour-là ;
  • puis, lors d’une autre séance, vous vous concentrez sur la façon dont vous avez gardé cela en vous pendant des années sans en parler à personne ;
  • une autre fois encore, vous pouvez mettre le focus sur la manière dont cela a influencé vos relations amoureuses jusqu’à ce jour ;
  • et ainsi de suite jusqu’à ce que l’ensemble de la situation avec toutes ses ramifications ait été envisagée.

En nettoyant une à une les mémoires reliées à cet événement majeur de votre vie, vous vous engagez sur le chemin de la guérison puisque vous êtes désormais en paix avec tous ces événements.

À la manière d’une cicatrice qui demeure après un accident, un traumatisme demeurera toujours, mais si cette cicatrice a été bien nettoyée et qu’elle est désormais à peine visible, il est beaucop plus imple de vivre avec que lorsqu’elle est laissée sans soins et menace de s’infecter à tout moment. N’est-ce pas ?

2 – Le rôle essentiel de l’intention et du lâcher-prise

La récitation du mantra doit donc non seulement être dirigée vers un événement précis, mais il faut aussi que l’intention soit bonne, et qu’un certain lâcher-prise s’exerce.

L’intention qui sous-tend la récitation du mantra doit en être une d’implication et de prise de responsabilité. Ce n’est personne d’autre que vous-même qui pouvez nettoyer vos propres mémoires.

Vous êtes désolé(e) de ne pas avoir pris conscience de cette mémoire plus tôt, de ne pas avoir entrepris de la nettoyer il y a longtemps, au moment où cela s’est produit. C’est de cela dont vous êtes désolé(e) pour vous-même.

Vous vous pardonnez ensuite de ne pas vous être occupé(e) de cette mémoire avant, de l’avoir laissée apporter des émotions et des réactions négatives dans votre vie.

Puis vous remerciez cette mémoire de s’être manifestée clairement afin de pouvoir être enfin nettoyée.

Et finalement vous vous dites ”je t’aime” car vous le méritez. Vous étiez déjà quelqu’un de merveilleux avant, mais une fois ce nettoyage de mémoires effectué, vous dégagez encore plus d’harmonie, de sérénité et de bien être. Bravo !

Pratiquer Ho’oponopono requiert aussi de lâcher prise, d’accepter que les choses arrivent et qu’on ne puisse pas les effacer, qu’on ne puisse pas en faire abstraction.

Pour que la technique Ho’oponopono fonctionne, il faut comprendre que la guérison ne signifie pas le retour à un état pur et innocent comme au premier jour. Non, la guérison, c’est simplement d’être capable de vivre avec tout ce qui compose et a composé votre vie jusqu’à présent.

Ho’oponopono vous invite à cesser de vous battre contre vos traumatismes et vos souvenirs, à laisser aller les choses, à intégrer des mémoires toutes propres, toutes bien nettoyées dans votre structure vitale afin que celles-ci ne viennent plus jamais interférer avec votre belle énergie.

Comme nous allons le voir plus en détails dans la suite de cet article, Ho’oponopono vient naturellement trouver sa place dans votre vie.

Les pratiques quotidiennes vous permettent de nettoyer le négatif dès qu’il apparait pour ne rien laisser s’envenimer, mais au contraire, vivre en permanence dans un univers dénué de toute mauvaise énergie.

3 – Routines quotidiennes de Ho’oponopono : Conseils pour une pratique constante et efficace

Ho’oponopono peut se pratiquer très facilement en tous lieux et en tout temps. Il est vraiment très simple de prendre quelques instants pour se mettre en condition et réciter le mantra.

Toutefois, parce-que le rythme de nos vies est parfois un peu trop rapide, voici quelques astuces à appliquer pour vous assurer qu’Ho’oponopono ne soit jamais laissé de côté.

Les astuces qui suivent sont tirées d’un livre que nous aimons beaucoup et qui est à l’origine destiné aux enfants. Il s’agit de :”Le Ho’oponopono en famille” de Aurore Aimelet chez Hatier. N’hésitez pas à le consulter pour encore plus de ”trucs” Ho’oponopono (que vous ayez ou pas des enfants d’ailleurs !).

Nous aimons bien, par exemple, ce jeu Ho’oponopono composé de 4 galets trouvés sur la plage ou de 4 marrons rammasés en forêt et sur lesquels on inscrit les 4 phrase du mantra Ho’oponopono.

En fin de journée, ou en fin de semaine, à plusieurs ou en solo, on plonge la main dans un petit sac contenant les 4 mots et l’on en retire un. On se demande alors si, au cours de la journée ou de la semaine, on a exprimé ce ”Merci” ou ce ”Pardon”. Si oui, on revit les situations pour s’encourager. Si non, on réfléchit à quels moments on aurait pu avoir recours au mantra.

Une autre partie de ce livre qui est extrêmement utile est celle ou, face à des émotions fortes comme la colère, la jalousie, on apprend à se poser des questions afin de pouvoir revenir vers les grands principes Ho’oponopono et retrouver calme et sérénité.

Un livre à se procurer donc, à lire pour être inspirés et guidés, et à partager !

Quand la science rencontre le Ho’oponopono

1 – L’univers quantique et le Ho’oponopono : Les points de rencontre

Il faut bien sûr demeurer prudent lorsqu’on cherche à établir des passerelles entre Ho’oponopono et la physique quantique, mais on ne peut nier qu’il existe des points de rencontre entre les deux concepts.

Le point le plus notable est assurément celui qui énonce que la pensée agit sur la matière, donc sur l’environnement et donc sur la vie. C’est un fait que la physique qunatique moderne a démontré à plusieurs reprises grâce à des expériences pointues dans ce domaine. Et c’est un principe de base du Ho’oponopono.

Une autre piste prometteuse suivie par la physique quantique moderne, mais non encore démontrée, est celle qui consiste à dire que l’univers ne se crée que sous notre regard, autrement dit nos pensées. Là encore, on est très proche des principes du Ho’oponopono.

2 – Études de cas : Comment la science appuie les bienfaits du Ho’oponopono

Pendant longtemps, la communauté scientifique a tout simplement nié le pouvoir de la pensée positive qu’elle reléguait très facilement au rang d’arnaque menée par des experts en marketing.

Lesdits scientifiques ont toutefois dû revoir leurs positions lorsque plusieurs expériences très scientifiquement encadrées ont obtenu des résultats démontrant clairement le pouvoir de la pensée positive.

Les études auxquelles nous faisons référence sont les suivantes :

  • Éric Kim, doctorant en psychologie clinique à l’université du Michigan a ainsi démontré que les personnes optimistes présentaient un risque réduit de crise cardiaque car elles prenaient des mesures pour promouvoir leur santé ;
  • Toujours aux États-Unis, une autre étude a fait le lien ente positivité et longévité : sur les 660 personnes qui participaient à l’étude, celles qui voyaient le fait de vieillir de manière plus positive ont vécu en moyenne 7,5 années de plus que celles qui avaient une opinion très négative de la vieillesse.
  • À l’université du Wisconsin aussi, une autre équipe de chercheurs a pu conclure après une étude scientifiquement reconnue que la pensée positive avait des effets sur le système immunitaire.
  • De retour en France, une dernière étude organisée cette fois par l’université de Lorraine a prouvé l’efficacité de la répétition de phrases positives sur la santé mentale. L’anxiété en particulier était ciblée lors d’une expérience au cours de laquelle les chercheurs envoyaient chaque matin des messages positifs aux patients en leur disant de les répéter trois fois. Après deux semaines, les symptômes d’anxiété et de dépression avaient baissé de manière très significative chez tous les sujets.

L’influence et les bienfaits du Ho’oponopono étaient donc démontrés simultanément à ces études on ne peut plus scientifiques.

Débuter avec le Ho’oponopono : Astuces pour les novices

Revenons maintenant à votre vie et aux différentes manières d’accueillir Ho’oponopono dans votre existence.

1 – Préparation pour la pratique du Ho’oponopono : Établir un espace de guérison

Afin que l’approche Ho’oponopono fonctionne, il faut préparer un terrain propice pour que la guérison, c’est-à-dire le nettoyage des mémoires, puisse avoir lieu.

De la même manière que l’on se prépare à une seance de méditation en trouvant un endroit calme, en réduisant les nuisances sonores, en s’installant confortablement, il faut se préparer à réciter le mantra Ho’oponopono.

On ne fait pas ça vite fait entre deux portes. Ou alors, on peut être certains que ça ne fonctionnera pas.

Imaginez-vous à Hawaï, prenez le rythme de l’île, pensez bien que toute la communauté doit se rassembler avant que le rituel commence. Les gens arrivent, se saluent s’installent.

Le guide commence à parler, puis il y a des temps de silence, des moments dédiés à la pensée en solitaire pour avancer personnellement sur son prorpe chemin de guérison.

Imaginez autour de vous (même si vous êtes seul(e) dans votre salon !) cette assemblée bienveillante qui vous supporte dans votre volonté de nettoyage de vos mémoires.

Et seulement lorsque vous sentez que vous êtes prêt(e), commencez à réciter les 4 mots du mantra Ho’oponopono.

Lâchez prise, laissez aller les choses, respirez, concentrez votre attention et votre intention sur l’objet de votre session Ho’oponopono. Immergez-vous dans la sagesse hawaïenne et laissez le mantra faire le reste.

2 – Élaboration de votre routine quotidienne de Ho’oponopono

Il existe en fait deux cas de figure pour envisager un voyage avec Ho’oponopono.

Soit vous considérez Ho’oponopono pour la guérison d’une chose, d’une situation, d’un mal être en particulier ; Soit vous vous rapprochez de Ho’oponopono pour améliorer votre bien être de manière plus générale.

Dans le premier cas, nous recommandons vivement que votre routine quotidienne Ho’oponopono et votre programme global Ho’oponopono soient élaborés en collaboration avec votre thérapeute.

C’est, à ce stade, la personne qui vous connait le mieux ainsi que votre problématique et qui peut vous aider à franchir cette nouvelle étape en douceur et avec une grande efficacité à la clé.

Si, par contre, vous voulez vous familiariser avec Ho’oponopono dans une démarche globale de recherche et d’amélioration de votre bien être, nous avons exactement l’outil qu’il vous faut.

Cet outil a été élaboré par le fameux Docteur Luc Bodin que l’on ne présente plus et s’appelle : ”La petite boîte pour vivre la sagesse Ho’oponopono au quotidien”.

Le contenu de cette petite boîte est tout à fait à la hauteur de ce que son titre laisse espérer. Ce sont en effet 81 cartes qui vous attendent avec chacune un message, un rappel, une pensée qui vont vous permettre de progresser sur le chemin Ho’oponopono.

Par exemple, en vous réveillant le matin, vous tirez une carte et celle-ci vous dit : ”Tout ce que je vis vient de moi”. Voici un bon moyen de commencer la journée avec une belle énergie et l’envie de faire plein de choses par vous-même sans attendre rien ni personne.

Plus tard, lors d’une pause, vous tirez une seconde carte qui vous annonce : ”Je ne suis pas une victime.” Quoi que vous soyez en train de faire ou de vivre, ce rappel que vous ne subissez rien, mais êtes pleinement acteur(trice) et responsabl de votre vie ne peut que vous faire du bien.

Vers la fin de la journée, après que peut-être des choses un peu moins agréables se soient déroulées, que des ennnuis soient survenus, vous choisissez une autre carte et cette fois le message est le suivant : ”Le pardon permet de vivre dans la paix”.

Vous pouvez donc rentrer chez vous en sachant que ces choses un peu négatives ne sont que passagères et que vous savez déjà comment les gérer.

Plus besoin donc de ruminer les choses pendant des heures et de ne pas parvenir à dormir.

Ho’oponopono est là pour vous aider à nettoyer cette négativité et à poursuivre sur votre chemin de vie en toute sérénité.

Et le jour suivant, tout recommence avec d’autres cartes, d’autres messages, d’autres solutions Ho’oponopono !

Emmenez votre petite boîte partout avec vous, elle ne mesure que 10 cm par 10cm.

Belle vie Ho’oponopono !

3 – Gestion des défis et des obstacles courants dans la pratique du Ho’oponopono

Les défis et obstacles lors de votre cheminement Ho’oponopono sont de différents types, mais tous reviennent à une seule et même chose qui constitue le grand défi de notre époque : vous reconnecter à vous-même.

Il se peut tout d’abord que vous ”n’ayez pas le temps” de pratiquer Ho’oponopono comme vous n’avez pas le temps de méditer ou de faire du sport.

Une seule solution à ce problème : commencer !

Il faut faire le premier pas, se ”forcer” un peu les premières fois, puis tout va aller de mieux en mieux, car les bénéfices et bienfaits vont très vite se faire sentir.

Donc, même si cela semble un peu artificiel au début, planifiez vos sessions Ho’oponopono, indiquez-les dans votre agenda, paramétrez des alertes sur votre téléphone pour vous forcer à prendre ces quelques minutes pour vous-même.

Ensuite, ce sera tout simplement naturel.

Deuxième difficulté rencontrée très souvent par les pratiquants Ho’oponopono : le mental qui s’échappe, se promène, et qu’il faut ramener, recentrer régulièrement.

Pour cela, il faut juste s’armer de patience et conserver votre bienveillance envers votre propre esprit, car c’est un rêveur très dissipé. Ne lui en voulez pas, il fait de son mieux dans un monde qui le stimule en permanence.

Dernier défi, mais pas des moindres lorsque l’on pratique Ho’oponopono : trouvez son rythme.

Ce qui arrive bien souvent, c’est que l’on veut aller trop vite, on veut tout régler en même temps. On voudrait qu’en nettoyant une mémoire, tout le reste soit aussi plus propre juste comme ça. Mais ce n’est pas ainsi que les choses fonctionnent.

Il faut décortiquer une situation, envisager tous les aspects de celle-ci pour pouvoir nettoyer chaque élément qui la constitue et parvenir à une propreté complète.

Nous avons déjà un peu montré comment faire ça plus haut dans cet article, mais voici un nouvel exemple.

Si la mémoire que vous souhaitez nettoyer est un terrible accident qui est survenu lorsque vous étiez enfant et vous a fait perdre l’un de vos parents ou les deux, il est indispensable de considérer ce traumatime sous différents angles.

Vous êtes désolé(e) d’avoir laissé cette mémoire prendre tant de place dans votre vie, vous auriez dû vous en occuper plus tôt, mais vous le faites maintenant.

Vous êtes désolée que cela se soit produit, mais vous savez aussi que c’est ce qui vous a permis d’être ce que vous êtes aujourd’hui, que cet événement vous a donné de la force. Vous êtes désolé(e) de ne pas avoir compris ça plus tôt.

Vous vous pardonnez d’avoir pris tout ce temps pour finalement être capable aujourd’hui de nettoyer cette mémoire. Vous vous pardonnez d’avoir traîné en chemin et d’avoir parfois même apprécié votre statut de”victime”. De tout cela vous vous pardonnez.

Vous vous pardonnez d’avoir cherché à “remplacer” l’être cher disparu, car vous savez désormais que rien ni personne ne peut le remplacer. Et vous savez aussi que sa force demeure en vous, s’exprime à travers vous.

Puis vous remerciez la vie et vous-même d’être là où vous êtes aujourd’hui et de pouvoir procéder à ce nettoyage, d’avoir l’énergie de le faire grâce à votre prorpe force interne.

Vous dites merci à cet événement car il a été un grand enseignement qui est intervenu au tout début de votre vie.

Vous vous dites ”je t’aime” à vous-même, car vous y êtes arrivé(e), vous seul(e), à ce stade de votre existence où vous nettoyez le souvenir de ce terrible accident.

Vous vous dites ”je t’aime” car vous méritez d’être aimé(e), car vous êtes fort(e), vous êtes merveilleux (se).

Ho’oponopono et bien-être mental : Une approche alternative

1 – Utilisation du Ho’oponopono pour gérer le stress et l’anxiété : techniques et témoignages

Pour gérer stress et anxiété grâce à Ho’oponopono, il faut appliquer ce que l’on appelle la technique de Morrnah qui se déroule comme suit.

1 – Lorsque vous ressentez du stress, la première chose à faire est de regarder en vous. La source du malaise se trouve en vous, dans l’une de vos mémoires non-nettoyées. Prenez le temps de cette introspection. Cela peut être un peu confus au premier abord. Mais c’est là, il vous suffit d’apprendre à le voir et de l’accepter pour ce que c’est : un traumatisme non-résolu.

2 – Il faut ensuite convoquer l’énergie, ou ce que Morrnah appelait ”la lumière pure”, car elle seule peut nous libérer de la blessure douloureuse induite par ce souvenir. Cette entité divine existe en nous. Il nous suffit de la laisser s’exprimer, de lui faire de la place, la place qu’elle mérite dans notre existence. Le stress disparaîtra de lui-même en même temps que cette mémoire indésirable.

3 – Après ce changement majeur constitué par le nettoyage de notre mémoire douloureuse, il faut nous réorganiser, replacer tous nos éléments constitutifs afin de retrouver l’harmonie c’est -à-dire l’équilibre entre notre trois principaux piliers. C’est véritablement comme après avoir sorti tous les meubles d’une pièce pour procéder à son nettoyage en profondeur, le moment où on replace tous les meubles. Les trois principaux éléments à bien équilibrer lors de cette redécoration sont :

  • Le subconscient (nos émotions);
  • Le conscient (notre esprit, notre mental);
  • Le super-conscient (notre spiritualité).

En terminant, il est important de noter que la méthode de Morrnah se pratique en solo, à l’inverse des célébrations hawaïennes qui avaient lieu en groupe et rassemblaient toute une communauté.

Nous laissons maintenant la parole à la conférencière et praticienne de soins énergétique, également rédactrice du blog ”Fontaine de lumière”, Martine Trudel, qui nous explique comment elle a gérer son stress grâce à Ho’oponopono.

Malgré la récitation consciencieuse du mantra, Martine ne voyait pas venir les résultats escomptés. Son stress était toujours là. Elle comprit alors que la solution résidait probablement dans l’amour de soi qu’elle ne se donnait pas suffisamment, pas pleinement.

Cela lui fut révélé par le biais d’une vision : ”J’ai vu un enfant ouvrir une porte, crier ses besoins et la refermer aussitôt sans recevoir ni écouter la réponse à ses demandes.”

Martine a compris qu’elle se précipitait et qu’elle ne laissait pas le temps à Ho’oponopono de faire son travail. Il fallait qu’elle laisse la porte ouverte plus longtemps pour entendre les réponses. Cela impliquait de se rendre vulnérable. Ce ne fut pas une étape facile.

Certes, Ho’oponopono le dit bien : nous sommes responsables de ce qui se déroule dans notre vie. Martine comprenait cela avec son esprit, mais il lui fallut bien reconnaître qu’elle avait peur. C’est pourquoi elle refermait la porte aussi vite.

Après un long questionnement sur elle-même (tout en se répétant qu’elle était désolée, qu’elle se pardonnait, qu’elle se remerciait et qu’elle s’aimait), Martine parvint à la conclusion qu’elle avait peur de l’inconnu. Et cette peur était ce qui était au coeur même de sa vie, ce qui menait les choses, ce qui lui faisait prendre chaque décision.

Les mots de Martine à ce sujet son très forts (et s’appliquent à beaucoup d’entre nous sans doute) : ”une religion pour s’assurer une place au ciel; une police d’assurance sur la vie, en cas de sinistre, d’accident, de si ou de ça; un GPS pour ne pas se perdre; un téléphone cellulaire pour être rejoint au cas ou quelque chose d’important survenait; un abri nucléaire contre la folie de l’homme, etc. Citoyens de ce monde, nous sommes équipés pour faire face au pire et éduqués à se méfier de la vie. Nous vivons continuellement dans la peur.”

C’est de tout cela que venait le stress de Martine.

Et c’est à ce moment-là, lorsque l’on fait face à cette situation où l’on perd tous nos repères, où l’on a l’impression que tout s’écroule autour de nous que l’on comprend que la seule chsoe en quoi on puisse placer notre foi, c’est nous-même.

C’est au moment de cette réalisation, de cette révélation que finalement, le stress qui vient d’atteindre un pic commence à redescendre, à se résorber.

Et peu à peu, la tranquillité s’installe, non pas parce-que les ténèbres se dissipent, mais parce-que l’on est capable de voir dans le noir. On n’a donc tout naturellement beaucoup moins peur de l’inconnu.

Et Martine de conclure avec ces mots pleins de sagesse : ”La sagesse Ho’oponopono nous invite à accroître notre confiance en notre divinité intérieure. Elle nous apprend à exercer notre capacité à s’aimer et à se pardonner, ce qui restaure le lien de confiance en nous-mêmes et en la vie. C’est ainsi que l’on accède au réconfort qu’apporte la certitude (la foi) en la bienveillance de la vie qui cherche constamment à nous donner le meilleur et à nous diriger vers ce qu’il y a de mieux pour nous, et ce, dans la clarté comme dans la vacuité.”

2 – Témoignages et études de cas : L’impact positif du Ho’oponopono sur la dépression

Dans ce chapitre, nous élargissons un peu le champs de notre propos pour parler de l’impact positif que peuvent avoir, non seulement Ho’oponopono, mais les mantras en général sur la dépression.

La répétition (dans sa tête ou à haute voix, cela ne change en rien l’impact du mantra) de phrases positives permet tout d’abord de se concentrer sur le postiif et de se tenir à distance du négatif. C’est l’effet le plus immédiat du mantra.

Bien entendu, cela fonctionne encore mieux si le mantra est personnalisé.

En second lieu, la répétition d’un mantra permet de vous connecter à vous-même, à votre moi intérieur, à votre divinité. La confiance en soi peut alors grandir, corps et esprit travaillent de concert.

Cet équilibre retrouvé ou en voit de l’être permet de (re)prendre le contrôle de vos émotions, de respirer plus calmement. Les choses deviennent plus claires, le brouillard se dissipe, vous envisagez des solutions.

Sur un plan totalement physiologique, il faut aussi savoir que la répétition de mantras induit la libération d’endorphines et de sérotonines, des hormones qui aident le cerveau à se sentir mieux et à se concentrer sur ce que vous lui indiquez alors : objectifs pertinents, bien être général, calme retrouvé.

Une pratiquequotidienne régulière des mantras ou du mantra que vous avez choisi, Ho’oponopono par exemple, permet d’obtenir des résultats encore meilleurs.

Bonnes récitations !

3 – Ho’oponopono dans la thérapie : Comment il est utilisé dans le monde du counselling

Pour bien comprendre comment Ho’oponopono vient modifier la relation entre un thérapeute et son patient lors d’un processus thérapeutique, nous vous invitons dans les pragraphes qui suivent à passer de l’autre côté du miroir et à devenir vous-même thérapeutes.

Lorsqu’une personne vient vous voir avec ses problématiques personnelles, elle attend bien souvent que vous l’aidiez à régler lesdits problèmes et elle espère secrètement que vous allez pouvoir faire ça de manière un peu magique.

Le problème est que vous n’êtes pas magicien(ne). Votre rôle est d’accompagner cette personne afin qu’elle trouve elle-même ses propres solutions.

Et c’est là que Ho’oponopono entre en jeu tant pour le patient que pour le thérapeute.

L’idée est de faire prendre conscience aux gens que ce qu’ils pensent venir de l’extérieur vient en fait d’eux-même. Il est bien plus simple de se positionner comme victime que de prendre ses responsabilités.

Ho’oponopono aide à modifier ce schéma afin que chacun devienne responsable de ce qui arrive dans son existence. Ici, le thérapeute aide le patient à trouver la divinité en lui.

On ne parle plus alors de guérison, mais simplement d’un ”échange de bons procédés” entre deux personnes.

Le thérapeute de son côté remercie cette personne d’être venue à lui, de l’aider à nettoyer ses propres mémoires douloureuses.

Plus chacun se nettoie, plus il communique une énergie qui aide l’autre à se nettoyer. C’est un cercle vertueux. Les découvertes vont en s’accentuant de toutes ces belles choses que chacun de nous possède… trop souvent sans le savoir.

Ho’oponopono pour le développement personnel

1 – Comment le Ho’oponopono peut vous aider à réaliser vos objectifs de vie

Ho’oponopono vous aide à réaliser vos objectifs de vie en vous disant que le plus important n’est pas d’atteindre vos objectifs.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Tout simplement que vous parviendrez à vous réaliser pleinement (et par le fait même à atteindre vos objectifs) si vous savez trouver le divin en vous, si vous remettez votre existence entre les mains de la divinité que vous incarnez.

Cet aspect spirituel du Ho’oponopono peut également être traduit en termes plus proches du quotidien des choses si la spiritualité n’est pas votre tasse de thé, et ce sont les pédagogues des méthodes alternatives d’éducation telles que Steiner et Decroly qui nous le disent : ”Mieux vaut réussir sa vie que réussir dans la vie’.

Effectivement, garder les yeux sur ce qui se trouve là-bas, loin, tout au bout du chemin, vous empêche de voir ce qui se déroule juste là sous vos yeux.

Se concentrer uniquement sur les objectifs risque de vous faire manquer ce qui existe dans l’instant présent.

La vie n’est pas un sprint, mais une course d’endurance.

Il faut trouver son rythme, ne pas gaspiller son énergie, mettre tout son coeur et son âme dans chaque foulée, progresser régulièrement, sans à-coups, et comme le rappelle le dicton : se diriger vers les objectifs ”lentement, mais sûrement.’

C’est ce que Ho’oponopono fait en vous incitant à regarder chaque petite chose négative de votre vie et à vous en débarasser pour continuer d’avancer sans entraves.

Un pas à la fois, Ho’oponopono vous permet de mettre un pied devant l’autre sans risque de chute. Vous avez peut-être la sensation de ralentir un peu, mais c’est en fait pour mieux avancer.

2 – Les secrets du Ho’oponopono pour améliorer les relations interpersonnelles

Prenons ici le temps d’un petit exercice pratique à mettre en application la prochaine fois que vous aurez un accrochage avec votre amoureux(se).

Disons que cela se passe lors du repas du midi. Vous repartez ensuite chacun vers vos activités avec ce poids sur le coeur.

Pensez alors Ho’oponopono.

Respirez, calmez-vous autant que possible (ce n’est pas toujours évident quand on est blessé(e)), et commencez à réciter le mantra Ho’oponopono. Vous pouvez aussi l’écrire si cela vous aide.

Écrivez ou récitez les 4 mots du mantra Ho’oponopono en pensant et en visualisant votre partenaire. Faites-le autant de fois que vous le désirez.

Ce moment que vous prenez pour vous deux est très important, il permet de rééquilibrer votre énergie, de vous recentrer.

Très vite, vous allez sentir votre visage se détendre, et après quelques minutes de plus, il y a de fortes chances pour qu’un sourire naisse sur vos lèvres.

Si cela s’arrêtait-là, ce serait déjà beaucoup, mais Ho’oponopono va plus loin, beaucoup plus loin que ça.

Vous souvenez-vous des patients que Ihaleakala Hew Len parvenait à soigner depuis son bureau ? La même chose va se produire pour vous.

Alors que vous récitez vos mantras, votre partenaire de son côté reçoit toute cette énergie positive et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il vous contacte ou, si les circonstances l’en empêchent, qu’il soit prêt pour une belle réconciliation lorsque vous vous reverrez plus tard dans la journée.

Faites le test. Voyez par vous-même. Le résultat va éclairer votre journée et votre chemin de développement personnel.

3 – Acceptation de soi et Ho’oponopono : un chemin vers l’amour de soi

Revenons maintenant sur ces fameuses mémoires que la technique Ho’oponopono nous permet de nettoyer.

Avant ce grand nettoyage, si vous prenez le temps d’y penser, il n’est pas évident de vous aimer vous-même, car vous avez en vous toute cette négativité, toute cette hypersensibilité qui déclenche des réactions négatives comme la colère, la rage, etc.

Vous êtes en permanence prêt(e) à exploser et l’édifice qu’est votre être est totalement instable puisque composé de mémoires empilées les unes sur les autres au fil du temps. À la moindre brise, tout vacille, et s’écroule.

Grâce au nettoyage Ho’oponopono, chacune de ces mémoires va être nettoyée et rangée bien proprement dans une boite étiquetée, puis archivée et placée sur une étagère à côté de la précédente et en attendamt la suivante.

Ce processus va non seulement permettre d’avoir un lieu dans lequel le passé est conservé de manière approprié et sans aucun danger, mais cela va aussi libérer de l’espace partout en vous, là où les mémoires douloureuses se répandaient auparavant.

Et dans cet espace libéré, il vous appartient désormais de placer tout ce que vous voulez, tout ce qui vous permet d’améliorer votre bien être, tout ce qui fait de votre vie un lieu d’harmonie et de sérénité.

Délivré(e) de ces mémoires négatives, vous pouvez laisser croître en vous estime et amour pour vous-même. L’espace est propice à leur épanouissement et les parasites sont tenus à distance.

Cette dernière analogie avec le jardinage nous permet d’apporter ici une notion essentielle. Votre vie, comme un jardin, nécessite des soins quotidiens.

Même si vous passez des semaines intensives à pratiquer Ho’oponoponop lors de retraites et de séminaires, cela ne fera que poser les bases d’un jardin merveilleux, mais ne vous dispensera pas d’un entretien quotidien.

Au-delà du bien-être : critiques et controverses du Ho’oponopono

1 – Les critiques du Ho’oponopono : Démystifier les malentendus

La critique la plus fréquente entendue lorsque l’on mentionne Ho’oponopono est celle qui dit que ”non, tout ce qui nous entoure n’est pas seulement créé par notre esprit, que des choses terribles existent et qu’il nous faut les affronter.’

Il s’agit là d’un malentendu. Les choses sont ce qu’elles sont et, en effet, des choses dramatiques se passent dans note société.

Ce que Ho’oponopono nous dit est que la lecture que nous faisons de cela dépend de nous, de notre esprit.

La personne qui fait quelque chose qui prouve clairement son manque de respect pour les autres est une personne à aider plutôt qu’à juger.

Si elle agit ainsi c’est parce-que quelque chose en elle ne va pas bien, peut-être qu’une mémoire douloureuse se trouve en travers de son chemin. Ho’oponopono peut l’aider comme cette approche nous a aidé nous-mêmes.

C’est en ce sens que Ho’oponopono parle de divinité, de responsabilité. Il est de notre devoir d’indiquer la direction du Ho’oponopono aux gens que nous voyons bloqués dans leur développement humain.

Lorsque les hawaïens se rassemblaient en communauté, ce n’était pas pour se juger les uns les autres, mais pour partager leurs expériences, reconnaître leurs propres fautes, et devenir meilleurs ensemble. C’est l’invitation du Ho’oponopono.

Autre commentaire souvent fait lorsqu’il est question du Ho’oponopono : ”Il est difficile de croire que l’on peut guérir par la simple force de la pensée.

Là encore, c’est une question d’interprétation. Ho’oponopono ne prétend pas faire des miracles. Ho’oponopono dit simplement que la récitation du mantra permet de préparer le terrain, de rend l’organisme plus réceptifs aux efforts de guérison.

En nettoyant toute négativité de notre être et de notre environnement, on constitue un espace plus propice à la guérison. L’énergie qui nous habite et nous englobe est bonne.

Si des traitements médicaux sont incontournables, ils vont continuer de l’être, mais la chance qu’ils fonctionnent sera bien plus grande grâce à Ho’oponopono.

2 – Réfutation des critiques courantes : Pourquoi le Ho’oponopono est plus qu’une tendance passagère

La réponse facile à cette question est bien sûr de dire que si la technique nous est parvenue depuis les temps anciens où elle était pratiquée à Hawaï, c’est probablement parce-qu’elle a fait ses preuves.

Mais la véritable raison de la longévité du Ho’oponopono réside plutôt dans le cercle vertueux qu’il constitue.

Au début, on est forcément un peu sceptique. Pas facile en effet d’accepter que seulement 4 petits mots vont impliquer des changements profonds de votre vie.

Mais, on essaie quand même, plus par curiosité au départ qu’autre chose.

C’est alors que de petites choses vont se passer, juste de minuscules bulles de positivité, des résultats à peite échelle, mais bien réels.

Alors, à partir de ce moment-là, on va commencer à faire plus attention à ce qu’on fait, à ce qu’on dit, à l’énergie qu’on diffuse, et on va donc repérer plus facilement ce qui ne va pas afin de le nettoyer.

Petit à petit, les effets et bienfaits du Ho’oponopono vont prendre de l’ampleur, ce ne sera plus seulement de toutes petites choses,mais des éléments plus fondamentaux de notre système qui vont changer pour le mieux.

Et ainsi de suite, Ho’oponopono va s’installer au coeur de votre vie.

3 – Prudence dans la pratique du Ho’oponopono : Conseils pour une pratique saine et respectueuse

Répétons-le de nouveau : Ho’oponopono n’est pas une thérapie, mais un art de vivre.

Ho’oponopono ne remplace pas la médecine et ne doit pas se substituer à un rendez-vous avec un thérapeute.

Ho’oponopono est un facilitateur de guérison, pas une baguette magique.

On lit parfois que Ho’oponopono peut changer le monde. C’est un peu excessif. Nous préférons dire que Ho’oponopono permet de changer la perspective que l’on a sur le monde.

En terminant, nous souhaitons aussi parler de la transmission du Ho’oponopono.

Effectivement, enchanté(e) par les résultats obtenus, vous serez certainement tenté(e) d’initier tout le monde au Ho’oponopono. Et c’est merveilleux !

Touefois, il faut faire preuve de beaucoup de respect lorsque vous le faites. Afin de faire les choses du mieux possible, nous vous invitons à imaginer que vous transmettez Ho’oponopono à des enfants (et d’ailleurs peut-être le transmettrez-vous à vos enfants, ce serait un magnifique cadeau à leur faire !).

Ainsi donc, le principal moyen de transmission est de montrer l’exemple. Les enfants, on le sait, apprennent beaucoup par mimétisme, et les adultes aussi, beaucoup plus qu’on le pense.

Soyez donc un exemple vivant de la puissance du Ho’oponopono. Les gens qui vous entourent voudront connaître la même paix intérieure que vous et vous imiteront.

Faites attention cependant de demeurer dans l’amour et le partage, et de ne jamais tomber dans le contrôle. La fontière est parfois mince entre les deux tant on veut que la personne parvienne à des résultats.

Lors de votre propre pratique Ho’oponopono ou lorsque vous transmettez celle-ci, apprenez également à fermer vos oreilles aux remarques et commentaires négatifs venant del’extérieur. Suivez votre intuition, suivez votre coeur.

Et finalement, ouvrez-vous ! Comprenez que la personne en face de vous va peut-être vivre Ho’oponopono de manière un peu différente de vous-même. C’est tout à fait normal. Chacun est unique. Demeurez flexible dans votre définition du Ho’oponopono.

Conclusion : L’art de vivre le Ho’oponopono

1 – Résumé des points clés de l’article et lien avec le bien-être général

Nous avons vu, au fil des lignes de cet article, comment Ho’oponopono pouvait aider à résoudre des problématiques de dépression, de santé mentale, ou des situations négative du quotidien.

Nous avons aussi découvert comment Ho’oponopono permet de nettoyer nos mémoires douloureuses sans même avoir à les décrypter, juste par la répétition du mantra.

Ho’oponopono mérite donc complètement sa place dans votre ”boite à outils” du bien être. Mais, Ho’oponopono ne devrait en aucun cas remplacer ou se subsituer à un autre technique ou approche.

Pour bâtir un édifice solide, vous avez toujours besoin d’un marteau, d’une scie, d’un tournevis et de quelques autres outils. Ho’oponopono est l’un d’entre eux, et il est indispensable, mais poursuivez vos séances de Reiki, continuez de méditer quotidiennement, faites appel à l’Ayurveda pour soigner vos petits maux du quotidien, apprenez la communication non violente pour régler vos conflits, bref, continuez de cultiver votre bien être globalement.

Vous n’êtes pas un coloriage à numéros ou chaque couleur doit venir prendre sa place et aucune autre. Vous tenez beaucoup plus de l’oeuvre d’art intuitive.

Chaque jour, l’une de ces techniques sera celle dont vous avez précisément besoin. Les autres seront présentes en soutien et prendront leur place de leader lors d’une autre journée.

Nul ne peut prédire ce que la vie nous réserve, mais vous pouvez être prêt(e) à parer à toutes les éventualités et Ho’oponopono est votre meilleur allié pour cela.

2 – L’impact potentiel du Ho’oponopono sur les individus et la société : une vision pour l’avenir

Connaissant désormais la puissance de Ho’oponopono au sein de votre propre vie, il est tentant de penser que si tout le monde pratiquait Ho’oponopono, la société dans son ensemble serait plus harmonieuse et sereine.

Oui, c’est vrai.

Mais, les choses ne sont pas si simples. De multiples couches de protection que les gens ont développé au fil du temps les empêchent de recevoir ce message pourtant si simple.

Le seul moyen dès lors de diffuser Ho’oponopono est de prêcher par l’exemple. Faites en sorte que les gens veuillent vous ressembler.

Et lorsque l’on vous dit : ”Wow ! Tu rayonnes ! Je ne sais pas ce que tu fais, mais ton énergie est splendide !”, répondez simplement en leur parlant d’Ho’oponopono en quelques mots. Le reste leur appartient.

3 – Invitation à l’action : Embrasser le Ho’oponopono dans la vie quotidienne

Notre article touche à sa fin.

Il ne vous reste plus dès lors qu’à reprendre le cours de votre vie en sachant que dès que vous appercevrez une toute petite touche de négativité, vous avez en vous-même, un moyen puissant d’y remédier.

Vous pouvez, par vous-même, nettoyer ce qui est à l’origine de cette négativité, ce qui vous empêche de vous révéler pleinement, ce qui demeure de votre passé et dont vous n’avez plus besoin aujourd’hui.

Vous avez le pouvoir de transformer votre vie en un flot incessant de belle énergie dont l’aura se propage tout autour de vous.

Profiez-en et le monde en profitera également !

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